Jour 1 : Méfiance

Arrière-plan : David Magnou, L’incrédulité de Saint-Thomas – d’après l’oeuvre éponyme du Caravage, 2018

Crédit photo David Magnou

Jour 2 : « L’écorché »

Recherches et dessins d’après les œuvres de l’exposition Formes d’histoires

Crédit photo David Magnou

« Empreintes sur peau de papier » –
Poursuite des recherches

Crédit photo David Magnou

Jour 3 : « Histoires de peaux »
Expérimentations autour du cuir bouilli

Crédit photo David Magnou

Recherches – Branche morte pansée de cuir

Crédit photo David Magnou

Jours 3 et 4 :
« Collectes… et transformations »

« Sophie »
graphite et feuille d’or

Crédit photo David Magnou

Jour 4 :
Talismans

Crédit photo David Magnou

Jour 5 : « Pas à pas »
Mise en espace

Crédit photo David Magnou

Mise en espace (vue d’exposition)

Crédit photo Maison des jeunes

Dans le cadre du programme CÉPIA  (Centre d'Étude au Partenariat et à l'Intervention Artistique) de l’Ecole nationale supérieure d’art de Bourges, avec la participation des ados de la Maison des jeunes d'Amilly et sur une proposition de l'artiste David Magnou

Intention de l’artiste :

« Mon travail interroge les territoires, les traces que l’homme laisse sur son environnement et la relation de l’humain à son habitat. A l’occasion d’une exposition ou d’une intervention, je privilégie le travail in situ ; pièces et projets se conçoivent en fonction des endroits dans lesquels je me trouve, par rapport à leur histoire, aux présences qui s’y trouvent. Entre autres.

En utilisant des codes ancrés dans la mémoire collective, je peux questionner les regards de différents publics. Tenter de rendre visibles les processus de création en partageant la construction dans une dynamique de groupe.

_

CHAMANES

_

Lors de ma présence aux Tanneries, l’exposition Formes d’histoires, qui explore la peau, le mythe et l’artefact, le détournement d’objets et de formes, marquait fortement l’actualité des lieux, avec laquelle elle se mettait également en résonance à travers la présence d’œuvres de cuir, jouant des empreintes et des traces laissées sur et par cette matière organique et « habitée ».

Le projet s’est construit ainsi, autour des formes plastiques dont chacun est susceptible de s’emparer pour donner corps à ses propres histoires, tissant des liens entre mémoire, matière, récits et artefacts.  »

David Magnou

avec la collaboration de : Juliette Graeff, Célia Martin, Joseph de Oliveira, Cloé Rébillon, Sira Sall, Louna Tshimbambe Devergne

Accompagnés par Christel Charlotton et Richard Leroy de la Maison des jeunes