Installation de l’exposition avec les élèves en 1ère spécialités arts plastiques du Lycée en Forêt.

Alex Balgiu et les élèves impliqués tout au long du projet sont invités à exposer leurs réalisations dans un espace dédié au sein du CDI de leur établissement.

Alex Balgiu, aux côtés des lycéens, suspend les réalisations imprimées, tissées, gravées par les élèves.

Venus nombreux pour découvrir le travail mené par cette classe de spécialité, les élèves et enseignants de l’établissement assistent à une installation performée, mise en scène par les élèves.

Musiques, chants, danses, lectures viennent rythmer ce temps convivial.

Alex Balgiu (re)traverse l’ensemble des mois passés sur le territoire à l’occasion d’une restitution contée et performée, au Centre d’art contemporain.

Déroulant les réalisations, déployant livres et récits, ces témoignages protéiformes donnent corps et présence à sa résidence-d’auteur.

Alex Balgiu dispose des éléments, objets, lectures qu’il a convoqué au fil de sa résidence d’auteur.

Fruit d’un atelier proposé pendant les Portes Ouvertes d’Atelier d’Artistes, ces lambeaux de papiers imprimés donnent corps à un récit puisé parmi les mythes et légendes du Gâtinais.

La safran, l’or rouge du Gâtinais, est une présence familière qu’Alex Balgiu convoque dans plusieurs de ces projets.

Donnant corps et vie aux liens tissés pendant plusieurs mois sur le bassin de vie d’Amilly, Alex Balgiu a proposé deux formes de restitutions à l’issue de sa résidence d’auteur. Un premier évènement s’est tenu au Lycée en Forêt de Montargis, suivi d’un second au Centre d’art contemporain Les Tanneries, réunissant ainsi de nombreux publics venus s’immerger dans cet univers poétique, traversé par les mythes du Gâtinais, les mémoires de ces lieux et les récits de ses habitants.

Le 12 décembre 2024, les élèves en 1ère spécialité arts plastiques du Lycée en Forêt, ont eu l’opportunité de présenter leurs productions artistiques lors d’une installation performée dans laquelle se mêlait musique et arts visuels. Donnant à voir des formes gravées, imprimées ou encore tissées, l’ensemble de ces créations sont nées d’un travail sensible et collectif entrepris par les élèves, aux côtés d’Alex Balgiu et de leur enseignant en arts plastiques Gilles Lebeau.

Dès la rentrée 2024, les élèves ont pu vivre des expériences artistiques et culturelles uniques au Centre d’art contemporain et à l’Atelier Musée de l’Imprimerie de Malesherbes. En puisant l’inspiration dans leur environnement proche, les élèves ont développé leur propre vocabulaire plastique, participant ainsi à chaque étape du projet, depuis sa conception jusqu’à sa réalisation et sa valorisation.

Leurs travaux ont été exposés au sein du CDI du Lycée, et cette installation a donné lieu à un vernissage en présence des élèves de seconde et de l’équipe pédagogique de l’établissement. Un moment fort qui a mis en lumière l’engagement, la créativité et la richesse des échanges entre les jeunes lycéens et l’artiste.

Quelques jours plus tard, le 14 décembre 2024, Alex Balgiu conviait le grand public à une performance contée au sein du Centre d’art. Métamorphosant l’un des espaces de l’école d’art en un carnet de voyage palpable et vivant, Alex Balgiu a (re)parcouru les quelques mois passés à Amilly. À travers cette traversée poétique, l’artiste-auteur a fait résonner les multiples voix entendues au fil de sa résidence d’auteur, déroulant les récits et déployant les empreintes laissées par celles et ceux rencontré·e·s sur son chemin.

Ainsi s’est achevé le premier chapitre de cette résidence d’auteur, autour de son projet intitulé « Hocus Pagus ». Un premier temps qui va nourrir et inspirer une suite à ce récit, qui se prolongera dès 2025 !

Les récits collectés, les mythes partagés, les formes créées collectivement participent à bâtir une mémoire commune, un imaginaire habité par les voix du territoire. Cette résidence d’auteur tisse alors des liens entre lieux de vie, lieux de transmission et lieux de création.
C’est en cela que cette résidence interroge ce qui fait maison : ce que l’on y imprime, ce que l’on y tisse, ce que l’on y transmet. Dans cette perspective, Nos Maisons Apparentées – cycle de programmation artistique triennal (2023-2026) – invite à explorer les connexions invisibles et les relations sensibles qui se construisent au fil des rencontres, et qui font, de chaque projet, un espace habité et partagé.